La Digital Workplace crée un environnement de travail numérique unifié, accessible partout et à tout moment. En profitant à l’expérience collaborateurs, elle soutient aussi l’engagement des équipes.
Un seul espace pour tout contrôler. Dans une Digital Workplace, le collaborateur retrouve tous les outils dont il a besoin dans le cadre de son travail. Réseaux sociaux internes, outils de création et de prise de note, agenda, logiciel d’emailing, documents… tout !
Mais la multiplication des outils pose problème : les organisations utilisent aujourd’hui 16 applications SaaS en moyenne contre 8 en 2015¹.
C’est pourquoi la Digital Workplace ne se contente pas de compiler les outils, elle les intègre et facilite leurs interactions.
On estime que les employés ayant accès à des applications facilement accessibles perdent 17% de temps en moins dans les processus manuels². Et des collaborateurs qui utilisent mieux leur temps, pour des tâches à plus forte valeur ajoutée, sont forcément plus engagés.
La grande majorité des DSI pensent d’ailleurs que l’autonomisation numérique pourrait entrainer une croissance des revenus d’au moins 5% en trois ans³. Pourtant, moins d’une entreprise sur deux bénéficie aujourd’hui d’une forme, souvent fragmentaire, de Digital Workplace4 : intranet, réseau social d’entreprise, suite Office 365, etc.
Si la Digital Workplace est si peu développée malgré son utilité, c’est parce que sa mise en place demande des efforts importants. Car cet espace numérique concerne tous les membres de l’entreprise, chacun doit être impliqué. Le top management a pour rôle d’impulser la conduite du changement, tandis que les collaborateurs ont tout intérêt à faire remonter leurs problématiques pour qu’elles soient prises en compte dans la sélection d’une solution adaptée.
D’où l’intérêt de faire de la Digital Workplace un programme, communiqué à toutes les parties prenantes grâce à une campagne massive de communication interne. Une campagne qui passera notamment par la signature mail : un touch point diffus et efficace qui peut être géré de façon centralisée.
Les touch points de la communication interne sont les canaux utilisés pour délivrer des messages aux employés. Emails, newsletters, réunions, signature mail : ceux-ci peuvent prendre de multiples formes. En voici quelques exemples.
Une communication interne efficace permet à la fois de transmettre des informations et d’engager les collaborateurs. C’est un levier essentiel, plus encore dans la période actuelle, pour fédérer les membres d’une entreprise autour de projets et de valeurs communes. Si la communication interne est – pour des raisons évidentes – presque constante, elle nécessite une certaine orchestration pour rester cohérente sur tous les canaux.
Outre la distinction online/offline qui tend à s’effacer, ces canaux ou points de contact (touch points) peuvent être classés en deux catégories. D’un côté, les touch points « synchrones » qui permettent une interaction en temps réel ; de l’autre des touch points « asynchrones », qui n’impliquent pas une réponse directe. Les premiers ont tendance à apparaître comme des freins à la productivité pour les employés, quand les seconds offrent de reprendre le contrôle sur son emploi du temps.
C’est, bien souvent, le touch point privilégié pour la communication interne. Un employé en reçoit en moyenne 121 et en envoie 40 par jour. Avec son taux d’ouverture qui avoisine les 100%, l’email professionnel est un touch point particulièrement efficace. Qui plus est, il est asynchrone : si le destinataire doit répondre, c’est rarement dans l’instant.
Le + : Asynchrone et informel
Le – : Peut se perdre dans le flux
Encore un email, mais cette fois plus formel. La newsletter est envoyée de façon régulière et bénéficie d’un chapitrage à même de créer des rendez-vous éditoriaux. Elle est attendue et permet de garder le lien. Mais c’est un touch point 100% descendant, qui n’implique aucune interaction.
Le + : Permet de créer un rendez-vous
Le – : Communication Top-Down